Personnages prédéfinis

Je m'appelle Warren McLiven, j'ai 35 ans et je suis un(e) Héphaïstos qui aime les femmes. J'appartient à l'île Chebrook
Je peux manipuler le feu mais pas le créer, et j'ai des visions de création (avec schémas/plans/calculs/maquettes etc).

Altruiste - généreux - légèrement paresseux - séducteur - doute parfois de lui - très bavard - rêveur (dans le sens à beaucoup d'imagination) - vif d'esprit - loyal - attentif - attentionné - joueur- très hyper actif - joyeux - jaloux - gentil.

Des flammes, un cri, puis.... plus rien. Pour que vous compreniez ce que je dis, il faut remonter un peu plus loin. Bien... commençons alors : Je me nomme Warren, Warren McLiven, à première vue je parais normal mais mon sang dégage une forte odeur qui embaume les narines de charmantes créatures tel que des géants, le minotaure ou encore des empousa.... Bref vous l’aurez compris je suis un demi dieu, fils d’Héphaïstos pour être exact. Je suis né à Hudson, dans l'état de New York, où j'ai vécu pendant mes 11 premières années jusqu'à la mort de ma mère qui s'est noyé sur un étang lorsque l'on faisait de la barque... Suite à ça, je fus déjà légèrement traumatisé de l'eau mais je fus surtout seul... En revenant sur la rive, je ne pouvais me retenir de pleurer, j'étais perdu... C'est alors qu'est apparut un homme mi humain mi chèvre, un satyre qu'il disait. Il me consola et m'expliqua qu'il me suivait depuis longtemps mais qu'il avait perdu ma trace quelques heures plus tôt. Encore sous le choque de la perte de ma mère, je ne fus presque pas choqué de ce qu'il venait de dire ou de ce qu'il était tout simplement. Il m'expliqua ensuite pourquoi je n'avais jamais connu mon père (bien qu'il ne savait pas encore qui il était), la suite... vous la connaissez. Il m'emmena dans un archipel d'île perdu par un train qui semblait magique, où je l'y suivie docilement après de multiples explications et démonstrations me prouvant la vérité de ses propos. Je ne suis resté qu'une semaine, de quoi en savoir plus sur cette nouvelle réalité que ne soupçonné même pas jusqu'ici. Dès le premier soir, une enclume apparut au dessus de moi, on me prit en charge en m'expliquant tout ce que cela impliqué... Au bout de ces sept jours j'appris que mon oncle avait pu obtenir ma garde, le satyre et lui avait pu s'occuper de toute l’administration pendant mon séjour sur l'île. Mon oncle était au courant depuis longtemps sur qui j'étais et tout le reste. C'était un grand chef étoilé de la capital française où j'ai d'ailleurs vécu avec lui pendant cinq petites années. La nature lui avait donné le don de voire à travers la Brûme, c'est d'ailleurs en parti comme ça qu'il m'a sauvé de l'empousa qui nous attaqué, nous étions dans la cuisine de son restaurant quand cette créature m'attaqua fourbement dans le dos, il prit sa poêle et la frappa de toute sa force avant qu'elle n’eut le temps de m'atteindre, elle le tua sous mes yeux...
Dans ma colère de perdre de nouveau un parent proche alors que je n'avais que 16 ans, je fis s’élever dans les airs, sans savoir comment je le faisais, les flammes de la plaque de cuisson et les fis s’abattre sur le monstre qui se décomposa sous mes yeux. Je n'eus d'autres choix que de repartir dans l'archipel... J'y vis depuis ce jour, j'ai aujourd'hui 35 ans et j'y vis une vie assez agréable avec ma compagne Jade et mes 2 enfants Matthias et Alexia...

Je m'appelle Jade Taylor, j'ai 35 ans et je suis un(e) Hermès qui aime les hommes. J'appartient à l'île Chebrook
Je peux me transformer en reptile - généralement en serpent - et voler.

Taquine - maligne - sens de l'humour - calme - posée - peu bavarde - rêveuse - loyale - attentive - attentionnée - gentille.

Je suis née le dix-septième jour du mois de décembre, en 1981, dans une clinique bretonne. Ma mère, une journaliste franco-britannique du nom de Marie, était en vacances dans sa famille française quand elle me donna le jour, neuf mois après avoir rencontré mon paternel, Hermès.

Les douze premières années de ma vie se passèrent sans trop d'encombre ; même s'il n'était pas présent, mon père pensait à nous, nous permettant de vivre sans souci. A cette époque, j'ignorais qui il était ; je dus attendre mes douze ans pour l'apprendre à mes dépends, quand je n'essayais pas de fuir mes grands-parents maternels qui tentaient par tous les moyens de me récupérer pour m'élever comme une petite fille catholique...

Ce jour-là, c'était le jour de mon anniversaire, et ma mère décida de me faire une surprise en m'emmenant dans la forêt de Brocéliande, qu'elle couvrait pour les besoins d'un reportage sur la légende arthurienne. Elle m'avait conduite jusqu'à l'étang de Comper, pas loin du château du même nom, et y avait dressé une nappe pour pique-niquer sous la lumière des lucioles qui volaient autour de nous.

Au début, tout se passa bien : nous mangions du gâteau que ma mère avait fait , je déballais mes cadeaux - deux poignards en bronze et un collier avec une feuille de chêne - et nous regardions le ballet des lucioles. Jusqu'au moment de repartir, il ne se passa rien. Mais quand nous avons commencé à ranger pour retourner à la voiture de ma mère, nous avons été attaquées. Par des monstres dont j'ignorais l'existence jusqu'à ce moment, mais qui firent pâlir ma mère.

Nous fîmes de notre mieux pour nous cacher ; mais nous n'avions pas prévu que le monstre qui nous avait attaqués était venu accompagné d'un copain, qui s'occupa de ma mère et moi assez rapidement. Acculées à un rocher, nous avons vu nos vies défiler, puis j'ai vu ma mère se placer devant moi pour me protéger. Quelques secondes après, elle s'affaissait devant moi, et je me suis retournée pour ne pas voir la suite. Mal m'en prit, car je sentis une vive douleur dans le bas du dos : le monstre m'avait donné un coup de griffe, s'apprêtant à me faire subir le même sort qu'à ma mère.

Sans un jeune homme qui traînait dans le coin, je ne serais pas là pour vous raconter mon histoire. Juste après le coup de griffe, j'ai eu comme un flou, et j'ai eu le temps de voir une silhouette masculine s'occuper du monstre avant de sombrer.

Quand je me suis réveillée, je me trouvais dans un lit d'hôpital, le bonhomme qui m'avait sauvée à mon chevet. Il m'expliqua ce qu'étaient les monstres : un Minotaure accompagné d'une chimère - la bestiole qui m'avait griffée le dos. Ceci fait, il me révéla ma nature de demi-déesse, fille d'Hermès, dieu des Voleurs, des Voyageurs, des Marchands, Messager des Dieux, et me lança :

Il faut que tu viennes avec moi sur Pantheon Island. C'est là que tu seras en sécurité. Quand tu seras remise, on ira chercher tes affaires chez toi et je t'y emmènerai.

Sur le coup, je n'avais pas répondu, encore sous le choc, me contentant de hocher la tête. Quelques jours plus tard, j'avais atterri à Chebrook, l'île Moderne, et je n'y ai pas bougé depuis tout ce temps. Jusqu'à mes trente-cinq ans, mon âge actuel, j'ai vécu sur l'île comme une jeune femme normale, embauchée à la Bibliothèque comme archiviste, et j'ai eu le temps de fonder une famille avec Warren McLiven, un fils d'Héphaïstos. Deux enfants sont nés de cette union, Alexia et Matthias...